La société est construite sur des lois soigneusement élaborées. Les pères fondateurs ont commencé à créer des lois il y a des siècles, et depuis lors, le gouvernement n’a cessé de se développer. Ces lois permettent de rester en sécurité, civilisé, honnête et libre de toute tyrannie. En tant que citoyens, notre gouvernement attend de nous que nous adhérions à ces décrets, non seulement pour notre propre bien, mais aussi pour le bien de la population dans son ensemble. Il existe plusieurs types de lois pénales en place, qui guident tout le peuple à être des citoyens sûrs et responsables.
Le premier ensemble de lois pénales, et peut-être le plus fondamental, s’applique à la sécurité des personnes. Ces règles régissent ce que nous, en tant que personne, ne pouvons pas faire les uns aux autres. En voici quelques exemples : agression armée ou non armée, harcèlement criminel, exploitation lascive, viol et meurtre. Toutes ces lois impliquent une menace directe pour les semblables et les conséquences de leur violation sont souvent graves. Elles sont prises très au sérieux et un certain nombre d’arrestations ont lieu chaque année pour avoir enfreint de telles lois. Lorsqu’il est arrêté, le criminel présumé peut faire face à un certain nombre d’accusations, peut être mis en probation et peut même être envoyé en prison. Il s’agit d’une toute autre question qui sera abordée dans un prochain article.
La deuxième forme de lois concerne le transport, et est connue sous le nom de code de la route. La plupart des gens prennent connaissance de ces lois lorsqu’ils commencent à apprendre à conduire, car il est crucial des suivre pour éviter d’être arrêté et de recevoir une amende ou éventuellement d’être arrêté. Voici quelques exemples courants de code de la route : excès de vitesse, conduite en état d’ivresse, non-port de la ceinture de sécurité, conduite d’une voiture ou d’un camion non immatriculé et abandon de la scène d’un accident. Dans certains cas, un tribunal peut même suspendre le permis de conduire d’un conducteur s’il enfreint ces lois trop souvent.
La troisième sorte de délit pénal concerne les infractions au code de la route.
Le troisième type de lois pénales concerne les biens. Lorsqu’une personne endommage ou détruit intentionnellement la propriété d’une autre personne, elle peut se retrouver face à une action en justice. Les lois sur la propriété restreignent les gens à jeter des détritus, à commettre des incendies criminels, à voler, à vandaliser, à entrer par effraction et à tout autre crime similaire. Souvent, lorsque la loi surprend une personne en train de violer ces règles, cette personne devra payer le propriétaire pour les dommages qu’elle a infligés. En outre, le criminel peut être amené à payer une amende au tribunal ou à passer un certain temps en prison.
La quatrième et dernière catégorie de lois est celle qui assure la sécurité de la communauté. Se sentir en sécurité dans sa propre ville ou son village est la pierre angulaire d’une société pacifique. Les lois communautaires tentent d’empêcher les gens d’acheter, de vendre ou de consommer des drogues, de manifester sans permis ou avec agressivité, de dissimuler une arme en public sans autorisation, de participer à des émeutes et de diffuser sciemment de fausses informations sur d’autres personnes publiquement. Si une personne viole l’une de ces lois, le système juridique peut la condamner à la prison ou à la prison, en fonction de la gravité.
Il y a de nombreuses lois qui s’appliquent à l’ensemble de la population.
Il existe de nombreuses lois pour assurer notre sécurité et celle des voisins. Le gouvernement a travaillé soigneusement au cours des siècles pour s’assurer que ces lois sont justes et efficaces pour arrêter le crime. Parce que toutes les personnes accusées d’avoir enfreint ces lois ne sont pas vraiment coupables, le tribunal a la décision finale dans chaque cas. C’est là que les choses se compliquent un peu. Au fil du temps, il y a eu de nombreux cas où des personnes innocentes ont été reconnues coupables et où des personnes coupables ont été relâchées parce qu’elles étaient perçues comme innocentes. Ce sera toujours une bataille dans notre système juridique, car nous dépensons beaucoup d’argent pour les avocats, les procès et les jurys, mais le juge a toujours le dernier mot. Espérons qu’à l’avenir, en tant que société, nous pourrons revenir à la façon dont les pères fondateurs géraient tout et revenir à une époque beaucoup plus simple où nous n’avions pas à faire face à tant de crudités concernant les lois, les avocats et les affaires judiciaires.